Retrouvailles 2018
Retrouvailles 2018
1986
naissance du mouvement
Un jeune garçon suit un inconnu et disparaît.
Bouleversés par cette tragédie, des parents réagissent et décident de créer une association susceptible d'informer les enfants et de les aider en cas de problème. Ainsi naît le mouvement « Parents-Secours» en 1968 au Canada et en 1976 au Québec.
Dix ans plus tard, deux jeunes liégeoises, actives au sein de l'asbl « Assistance à l'Enfance », se rendent au Canada et en reviennent convaincues : « Parents-Secours» est lancé à Liège, avant de faire des petits aux quatre coins du pays.
Implanté en Belgique en 1986, Parents-Secours est un mouvement qui a pour but de développer un climat de plus grande sécurité et de recréer la solidarité dans les quartiers grâce à des familles de confiance qui acceptent que leur maison serve de refuge à un enfant se retrouvant seul dans une situation embarrassante.
A l’enfant en détresse, nous proposons la solidarité
Les parents-secours sont reconnaissables grâce à une pancarte rouge et blanche affichée à leur fenêtre.
De nombreuses situations de la vie quotidienne peuvent amener un enfant à trouver refuge chez un parent-secours:
Tombé de vélo, mordu par un chien, un enfant se sent soudain désemparé.
Une affichette «Parents-Secours» (représentant un adulte prenant la main d’un enfant) apposée à la fenêtre d’une maison lui indique qu’en ce lieu, il trouvera écoute et réconfort.
Ainsi, une fillette égare les clés de son domicile, ses parents sont absents, en attendant leur retour, elle est accueillie par un «parent-secours» du voisinage.
De même, un écolier se trompe de bus. Après quelques arrêts, il en descend complètement paniqué. Il repère une affiche «Parents-Secours». Il sonne. On le remet sur le bon chemin.
Les parents ne sont pas les seuls responsables de la sécurité de leurs enfants, nous sommes tous concernés, nous avons tous un rôle important à jouer. Pour cela, le mouvement développe:
• un réseau de foyers refuge
• des animations dans les écoles
• une permanence 24h/24h
• un hébergement d’urgence